Veste a manches raglan, en velours côtelé très fin.

Les devants sont garnis de pattes simulant des poches en biais et 6 boutons donnent un effet de double boutonnage sous le col officier.

Avec le bonnet tricoté qui l’accompagne, Françoise pourra sans risquer de prendre froid, gambader tout à son aise.

Matériel 

Pour la veste :

-0,40 x 0,60 m de velours

-6 boutons métal

-3 boutons pressions

Pour le bonnet :

-10 gr de laine 4fils

-2 aiguilles à tricoter n° 4

Réalisation

Veste

Couper les pièces au patron exact, les coutures et ourlets etant compris pour plus de facilité.

Fermer les pinces des devants.

Assembler par les coutures de côtés dos et devants.

Plier les pattes des poches en deux., endroit contre endroit, faire les coutures des côtés, les retourner et les placer à plat (le haut vers l’ourlet de la veste) puis verser la patte vers le haut.

Maintenir les côtés par un point sur l’envers.

Préparer la parmenture des manches : la coudre endroit contre endroit à 5 mm du bord.

Faire la couture de manches, après avoir formé la pince d’épaule, puis retourner vers l’intérieur la parmenture que l’on maintient par des points de chausson.

Monter les manches.

Faire à petits points de chausson l’ourlet du bas de la veste.

Plier la parementure endroit contre endroit à l’encolure fermer sur 2 cm, puis retourner et rabattre sur l’envers à points de chausson.

Plier la bande de col en deux, endroit contre endroit, coudre les extrémités, retourner et , après avoir placé l’endroit du col contre l’endroit de la veste, coudre a 5 mm de l’encolure, rabattre a l’intérieur en ménageant un petit rempli et maintenir à points de côté.

Fixer 6 petits boutons de métal sur le devant droit, coudre deux boutons pressions à la hauteur de l’encolure et un autre sous le dernier bouton au bas du « boutonnage ».

Le bonnet

Ce tricote au point de jarretière = tric. toutes les m. a l’endroit.

Echantillon :

20 m. = 9cm ; 20 rgs = 8 cm

Faire une bande droite de 30 m. sur 24 cm.

La fermer en rond, puis rouler l’un des côtes sur lui-même  pour former un bourrelet que l’on maintient  par des points glisses invisibles en resserrant un peu le tricot.

Le bonnet doit avoir, terminé 10 cm de profondeur environ.

Modes et travaux, mars 1954